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Les sites historiques de Djerba



Les villes Romaines
Meninx


Le site Meninx est situé dans l’extrême Sud-Est de Djerba. Cette ville, fondée par les Phéniciens, à connue son apogée à l’époque romaine et devenue capitale de l’île. Ce site renferme des vestiges apparents sur une longueur de deux kilomètres et une largeur de 800 mètres environ. Les fouilles ont permis de découvrir l’existence d’un un amphithéâtre, un théâtre, une basilique et une esplanade qui devrait constituer le forum (place publique ) de la cité.Cette ville à connue une activité commerciale et artisanale très importante.
Meninx demeure le chef-lieu de l'île de Jerba jusqu'à la seconde moitié du III ème ou du début du 4ème siècle apr. J.-C. Aprés cette date, elle fut remplacée par Girba (dans le voisinage de Houmt Souk).
Meninx était une ville riche, en témoigne la diversité du marbre qui ornait ses constructions. Les archéologues ont identifié plusieurs types de marbres.

Haribus



Ce village est situé dans la partie Ouest de Guellala, connue depuis l’antiquité par la fabrication de poterie et la découverte des anciens fours en témoigne de l’existence de cette activité. On entend raconté à Guellala que dans l’antiquité des anciens navigateurs ont pris les fours des potiers pour des fours à chaux ou pour des montagnes.
Les ruines de ce site ont disparu, des historiens disaient que pendant l’occupation française des pierres de ce site ont été transporté vers la région de El-Kantara.

BourgouHenchir Bourgou est parmi les sites les plus anciens de Djerba d’après l’étude du Ministère de la Culture et l'Institut National du Patrimoine de Tunisie. Il est connu par son grand monument funéraire de l’époque des Numides( peuple semi nomade ancêtres des berbères). La ville antique s'étend sur plusieurs hectares. La collecte intensive du matériel archéologique effectuée sur site en 1996 a révélé que la céramique à vernis noir qui jonche le sol du site témoigne d'une occupation qui remonte au IV éme siècle av. J.C Cependant, aucune trace d'un plan régulier de la ville n'a été reconnue. Les enduits peints, les moulures, les mosaïques, la céramique d'importation, suggèrent un genre de vie assez aisé.

Ghizen
Sur la côte au Nord de Bourgou, s'étend le site de Ghizen qui servait probablement de port pour la ville Numide. On y trouve de la céramique à vernis noir de type attique (péninsule de la Grèce). Ce site est connu aussi sous le nom de Girba d’où dérivait le nom de Djerba.

On trouve à Djerba d’autres villes romaines mais par manque d’information on va les citer rapidement :
Henchir El Ghoula : situé dans le Sud-Est de l’île de Djerba à coté du village de Sedouikech. Les colonnes de marbre et les sculptures ont été trouvées dans cette région.

Site de Tiiaz (ville de Tifacha ) sur la colline de Marmech à l’Est du village d’Ajim.
Ville de Gharden situe au sud-est de l’île à coté du village de Beni Maaghel.

Les Bordj ou Forteresses

Borj El-Kébir
Situé dans le nord de Houmt-Souk, appelé aussi Borj Ghazi Mostpha est un ancien fort arabe du XVème siècle, construit sous le règne de l'émir Abi Fares al-Hafsi (de la dynastie des Hafsides) qui fut renforcé par le corsaire Dragut et agrandi par les Espagnols au XVIème siècle. A l'intérieur, des fouilles ont permis de découvrir le premier fort datant du XIIIème siècle. Dans une des salles, une exposition des découvertes effectuées lors des fouilles relate l'histoire du fort. Une vue panoramique du haut des remparts permet de voir le port et l'obélisque de 9 mètres de haut qui rappelle l'emplacement du Borj-er-Rous (la tour de crânes érigée par le corsaire Dragut).

Le phare de Taguermess 
Ce phare, l’un des symboles de Djerba, fut construit à la fin du 19 éme siècle sous l’ordre du bey. Bâtit sur une colline de 20 mètres dans le nord-est de l’île, ce phare de 75 mètres est caractérisé par ses couleurs (blanc et rouge) du drapeau tunisien. Avec une portée dépassant les 50 kilomètres, ce « phnar de Taguermess » comme les Djerbiens l’appellent, est le premier signe lumineux que les marins venant de l’orient et se dirigeaient vers les cotes du Maghreb observaient.

Le phare de Borj Djillij
C’est à cette endroit,à douze kilomètre de la ville de Melita, que fut construit au 16 éme siècle le premier phare de l’île sur les traces d’un ancien fort Espagnol « la Tour de Valgarnera ». Le système d’éclairage de ce phare été à base de l’huile d’olive. Ce phare fut installé pour faciliter la navigation maritime comme dans toutes les îles de la méditerranée, pour aider les pêcheurs la nuit, lorsque le ciel est couvert, à se repérer et pour surveiller l’île contre les invasions ennemies.
la côte ouest de Bordj Djilij à Sidi Yaya en passant par Sidi Jmour. Les fonds sont variés, de la vasière au sable clair. A marée basse, la mer laisse de grandes flaques celles-ci gardant prisonniers les coquillages.La mer, lors des grandes marées, peut se retirer entre 100 et 200 mètres. Plus bas, la hauteur de l'eau est encore très faible sur quelques dizaines de mètres.

Borj KstilConstruit au XIII siècle par Roger de Loria, amiral du Nord de Sicile. Ce fort est situé dans la partie sud de l’île à l’extrémité de la presque île Bine El Ouidiane. C’est une grande forteresse d’environ 30 mètres de coté et 10 mètres de hauteur. Les murs sont très épais et ont une forme carrée. Ce fort est doté de plusieurs tours dont les plus dominantes sont situées dans les quatre angles. Ce fort fut restauré au 15 éme siècle à l’époque Hafside et au 16 éme pendant la domination turque et enfin au 17 éme siècle pendant le règne du Bey de Tunis Hamouda Pacha.
Pour accéder à ce fort il faut emprunter un chemin dit Trik Ejmal (route du chameau), ce chemin au milieu de la mer est très dangereux.

Borj El Akrab (fort du scorpion)
Situé dans la pointe sud de l'île entre Ras Tarbila et El Kantara. Avec une forme circulaire, il est entouré par la mer. La superficie de ce fort est de 10 m2 environ. Ses murs sont restés intacts. On racontait qu’un prince de Djerba l’a construit, après avoir perdu ses enfants à cause des piqûres de scorpion, pour installer son dernier fils afin de le protéger contre ces dangereux insectes. Mais, malgré toute cette protection, un jour il a reçu un présent et par hasard un scorpion s’accrocha ce qui a causé la mort de cet enfant. Moralité de l’histoire on ne peut pas s’opposer à un destin. D’ou l’appellation de ce fort de Borj El Akrab (Scopion).

Borj Marsa Ajim
Le fort d'Ajim est situé dans la pointe sud de l'île.
Borj El wassat (fort du centre) 
Situé au paravent au milieu de la chaussée romaine (El Kantara). Construit pour surveiller la partie sud de l’île.

Borj Ksar Massoud 
Situé sur la cote sud, mais aujourd’hui on a installé l’office nationale de pêche.

Borj AghirSitué sur la cote Est de l’île. C’est un grand port construit à l’époque de Ali Bacha (un Bey turc) à la fin du XVII éme siècle. Mais malheureusement ce fort a été d’abord transformé sous le protectorat français en un bâtiment de douane puis aujourd’hui à une maison de vacances pour les jeunes.
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